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    C'est à ce moment là que les deux Claude sont arrivé:

    -Qu'est-ce qui ce passe ici?   On vient de rentrer et la première chose qu'on entend ce sont des coup de feu et la moitié du village qui beugle comme des putois.

    Les deux Claude sont amis depuis l'age de cinq ans. Tous deux enfants uniques, et en mal de frère et sœur, ils ont décidé un jour qu'il étaient frères et depuis ne se sont plus quittés. Pour les différencier, les gens les ont appelés Glaude et Claudius. Certains disent qu'ils seraient réellement frères, ou plutôt, demi-frères, du fait que le père au Claudius rendait souvent visite à la mère du Glaude quand son maris n'était pas chez lui. C'est pourtant vrai qu'ils se ressemblent beaucoup tout les deux. Et si je voulais être mauvaise langue, j'ajouterais que la Glaude ressemble beaucoup au père du Claudius quand il avait le même age.

    Çà faisait sept mois qu'ils étaient partit du village. Et ne savaient pas ce qui s'était passé. Ils étaient partit chercher leur chance ailleurs, qu'elle drôle d'idée. Je n'était pas mécontent de les voir revenir. Ils avaient la tête froide et les idées claires tout les deux. Ils revenaient au bon moment. 

    Nous leur avons expliqué ce qui se passait au village depuis plusieurs mois. Ils étaient perplexes. Ils ne voyaient aucune explications logiques. Ils ont demander à voir le chien de Martin. Les blessures du chien étaient identiques à celles des autres chiens. Mais cela n'a surpris personne excepté les deux Claude. 

    Après celà nous avons décidé d'agir. La présence des deux nouveaux arrivé agrandissait notre groupe. ET avec ce qui venait de se passer avec Thomas, nous n'avions plus le choix, et surtout, nous n'avions pas le droit de ne rien faire.

     

    Il y a cinq mois que la battu a eut lieu et j'avoue que j'ai du mal à m'en remettre.

    Les chiens étaient tuées les soir de pleine lune, nous avons donc attendu la pleine lune suivante. Nous avons pris des armes et nous avons fait le guet. Heureusement,le village n'est pas bien grand. Ernest avait laissé son chien dehors. Il ne voulait certes pas le sacrifier, mais il fallait un appât pour attirer "La Bête" , et comme s'était son idée, il ne voulait imposer à personne d'autre de risquer le vie de son chien. Nous étions par groupe de deux à différents endroit du village. Les deux Claudes ensemble comme toujours. Le Louis et sa Marie faisaient équipe ensemble. Le Mathieu du bois des rois accompagnait le père au Martin. Et le maire était avec moi, j'allais oublier Antonin qui était venu nous préter main forte avec son fusil, et l'Ernest malgré son age. Les nuits commençaient à être fraîches. Çà faisait longtemps qu'on attendait quand un hurlement se fit entendre. 

    -C'est le même cri que j'ai entendu la dernière fois. A dit Antonin.

    J'ai sentit un frisson me courir dessus. Çà ressemblait à un cri de loup, mais ce n'en était pas un. Je l'aurais juré. Depuis l'entrée du village, un des deux Claude nous fit signes avec sa lampe. IL avait vu quelque chose. Puis les signaux lumineux se firent plus pressant. La bête arrivait. J’espérais qu'il n'avaient oublié la consigne: Ne pas tirer tout de suite. prévenir de l'arrivée de la bête, se cacher, laisser le bête entrer dans le village, s'approcher du chien, encercler la bête, et là seulement, tuer la bête.

    J'avais peur.

    Le problème , c'est que nous ne savions pas à quoi nous allions avoir à faire. Nous l'appelions la bêtes depuis plusieurs mois par facilité. Tout à coup nous avons vue les deux Claudes courir vers nous.

    -Çà viens! ça viens! à dit le Claudius. Jamais vu un "truc" pareil! 

    C'est à ce moment là que nous l'avons vu. Et je m'en souviendrais toute ma vie.....    

     

     le bestial suite 5 et fin >>

     

     


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    ......Je me souviens d'avoir pensé que je n'avais jamais vu un  type aussi mal fichu. J'ai même eu de la pitié pour lui à un moment je l'avoue. Il était tordu, les jambes semblaient refuser de se tendre, ainsi que ses bras dont les coudes étaient tournés vers l'exterieur. Le dos était vouté et le visage diforme. Il était nu, sale, hirsute. Il grognait en émettant des espèces de borborigmes entre des reniflemnts d'animaux. Il huma l'air bruyament en direction de l'endroit où l'Ernest avait attaché son chien. Nous avons suivit ce...  cette... cette... chose. en ayant peur d'être découvert. Mais apparement la créature ne se rendait pas compte de notre présence. 
     
     
     
    Nous n'étions que six à suivre la bête Les deux Claude, Antonin et l'Ernest, le maire et moi. Le louis, la Marie et le Mathieu avec le père au Martin étaient plus loin. Antonin leur faisait des grands signes désespérés avec sa lampe. ILs semblaient ne pas nous voir. Soudain la bête se retourna . Elle nous fixa de ses grands yeux verts et grogna doucement. Nous étions abasourdis. ce n'était pas croyable. La créature nous souriait, et ses grognements avaient l'air amicaux. Puis elle se retourna et repris son chemin en reniflant. Un peu plus loin , le chien s'était mit à hurler à la mort, il sentait le danger. Les deux autres groupes venaient de nous rejoindre. Alors nous avons tiré sur la créature. Brusquement elle se précipita vers nous en hurlant. Nous avons vidé nos armes sur la bête. Le corps criblé de balles elle aurait du mourir, mais n'en fut rien. Et ça ne nous a même pas étonnés! Elle s'est enfuis vers la forêt en hurlant de rage. Nous sommes parti à sa poursuite. 
     
     
     
    A l'orée de la forêt elle s'est enfin écroulée. Prudemment, nous nous sommes approchés d'elle. Elle ne respirait presque plus. couchée sur le dos, elle regerdait fixement la lune. Un larme coula sur sa jour gauche en direction de l'oreille. Elle poussa un dernier gémissement, puis, la bête était morte . Nous faision un cercle autour d'elle, nous la regardions, et je sais que chacun d'entre nous aurais voulu lui poser la même question:
     
     
    "Pourquoi?"
     
     
    Puis soudain, quelqu'un à crié:
     
     
    -Attention! Elle a bougé!
     
     
    Nous avons tous fait un pas en arrière. Oui elle bougeait; Mais pourtant, elle était bien morte. Elle se recroquvilla sur elle-même. Et je crois bien avoir entendu les os grincer. Prudemment nous nous sommes approché pour observer le phénomène. Il lui poussa des poil partout, des crocs dans la bouches,et des griffes au bout des doigts. Sa figure et ses oreilles s'allongèrent,puis, à nos pieds il n'y avait plus qu'un loup ordinaire. 
     
    Voilà, il fallait que je le raconte. Je ne sais pas s'il existe des loup-garrous. Personnellements, je n'y crois pas, et je n'y ai jamais cru. Mais d'après ce que j'ai vu ce soir là, il se pourrait bien qu'il existe ce qu'on pourrait appeler:
    des hommes-garrous.
     
     

    FIN

     
                                         
     

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